vendredi, juillet 17, 2009

Je t'ai déposé des fleurs en papiers.


C'est la première fois depuis deux ans que j'observe par cette fenêtre parsemées de traces de doigts. J'ai enfin vu chaque détails de ce trajet si fatiguant et pourtant remplie de vie. Malgrès le décor grisâtre des maisons, du quartier les gens vivent, rigolent, s'amusent près du "Pastourel" . . . Lors d'un feu rouge, je me suis amusé à regarder une petite murette beige où des plantes s'enlaçaient. Elles se tenaient par le bout de leurs tiges et refusaient de se lâcher pourtant le vent était des plus violent . . . Dieu que la nature est belle . . . J'ai contemplé ces plantes puis j'ai pensé à toi, tout bêtement. Avec un sourire enfantin, j'ai pensé que nous aussi nous étions des plantes. J'ai songé au fait qu'aucune turbulences pourraient nous séparer. Et tu sais quoi ? J'ai adoré penser à ça l'ombre d'un instant éphémère.
Agnès B.

1 commentaire:

Anouk . a dit…

Trés Jolie Texte (Y) :)
Une fois de plus tu me diras