mardi, septembre 29, 2009
jeudi, septembre 03, 2009
Texte d'un soir.

Je ne tiens pas à commencer ce texte très polimment. Je te le dis honnêtement, tu es un salop. Tu détruits tout ce qui se trouve autour de toi et moi en même temps, j'ai de la rancune envers toi à présent. Tu me suis. Depuis trop longtemps je trouve. Déjà depuis la maternelle tu étais à mes côtés mais j'étais aveugle. Je ne te voyais pas. Tu ne représentais pas encore un danger nocif à mes yeux. Tu m'as fait voir des personnes totalement inconnue à mon égard prete a m'aider. Cela m'a d'ailleurs étonné qu'un étranger se préoccupe de ma petite personne. J'ai grandis. J'ai découvert la colère et la répercution qu'elle peut avoir sur les gens. Un nouvel inconnu entre dans ma vie. J'étais encore trop petite pour comprendre. Peut-être étais-je trop bête ? Ou tout simplement naïve. Je rigolais et en même temps je me questionnais. Je trouvais cette dame bien gentille car elle me laissait tout le temps jouer avec des poupées. Je me suis alors senti trahie quand j'ai su quelques années plus tard qu'elle recherchait des troubles dans ma personnalité. Ce qui me gênait le plus c'est qu'elle en avait trouvé. Tu es vicieux. Tu t'entêtes et tu arrives toujours à tes fins. Quand arreteras-tu ce massacre que tu crées en moi chaque jours depuis quatre ans ? Ne te lasses-tu pas de moi ? De mes plaintes ? Avec le temps tu as réussi à empirer les choses à ta manière. Je ne te le pardonnerais jamais. Et je ne pardonnerais également jamais le passé et le temps pour les horribles choses qu'ils m'a fait subir. Vous êtes des êtres infâmes. Et toi ! Toi la tu me suis chaque jours. Tu devrais avoir honte de m'avoir infliger une telle sentence. Je tiens à te signaler que tu es mauvais. Tu es douloureux et me punis de maux indéfinissable et incurable. A l'intérieur, je reste une enfant triste à cause de toi. Il y a toujours cette petite gamine effrayé de tout qui n'arrive guère à se lever fièrement. Tu m'as remplies de défauts et de péchés. La comparaison, la jalousie, le manque de confiance. Quel cadeau tu m'as fait la. Que dois-je entreprendre pour me débarasser de toi ? Rien surement tu es enfouis trop profondément à présent. Tu causes d'énormes dégâts dans ma vie. Tu me mets en colère, tu me fais pleurer et tu me fais haïr ma propre personne. Je me juge. Un peu trop, et négativement en plus. Tu es un salop de m'avoir piéger. Tu m'as fait entrer dans ton jeu ignoble tu m'as soumise et m'a mise à genoux face à ta laideur. Tu me répugnes. Et le plus pitoyable dans cette malheureuse histoire c'est que le dégoût profond que je te porte, je le porte à moi même. C'est le fruit de ton travail.
mercredi, septembre 02, 2009
Incurable.
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