dimanche, avril 19, 2009

"J'accuse"


Nous sommes bien d'accord pour dire que toi et moi, ça ne s'arrete pas là.

mercredi, avril 15, 2009

"La consolante."


"Ta Fiat pourrie nous tenait lieu de bâteau, de tapis volant, de diligence. Tu encourageais tes quatres petits chevaux fiscaux en jurant comme le gros Hank dans Lucky Luke, Yeah ! Hue Patte folle !!! Ton fouet claquait le long des périphériques et tu mâchais ta cigarette pour le plaisir de nous voir sursauter quand tu recracher ta chique à la fenêtre ..
Avec toi, la vie était épuisante, mais la télé restait éteinte.
Et tout était possible.
Tout.
A condition de ne jamais lâcher ta main ..."


Anna Gavalda - La consolante.

dimanche, avril 12, 2009

"A l'intérieur."


Ahora, estoy contento porque me doy cuenta de que los momentos contigo son de los mas apreciables.

jeudi, avril 09, 2009

"Plus tard je serais écrivain. Un écrivain lugubre aux textes dépourvue de joie et remplie de desespoir"




Ce soir, je voudrais me confesser à toi car il est vrai que je ne vais pas très bien. Il y a une sorte de chamboulement dans ma tête quelque chose qui ne tourne pas rond. Je ne cesse de me prendre la tête pour cet homme. Ange de douceur. Ange de douleur. Une immense tristesse s'empare de moi, toujours les mêmes inquiétudes, les mêmes questions, le temps que j'appréhende, tout ça, toujours sans aucune force. Il faut que tu saches que je ne suis pas sûre de moi, que je ne sais pas comment vont se dérouler les prochains mois. Oui, car aujourd'hui je ne parle plus en années comme à notre habitude. J'en suis bien trop effrayée. Je ne veux pas te faire perdre ton temps, toujours à te conter mes gérémiades mais j'en ai un immense besoin. Malgrès tout cela, je vais faire des efforts. Oh ça oui ! Je le jure ! Croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer. Que j'ai l'air ridicule avec mes expressions enfantines. Mais après tout je ne suis pas la pour juger, toi non plus d'ailleurs. Je pense avoir chercher ces problèmes. Maintenant je ne peux en vouloir qu'à moi même. Il m'a mise en garde. C'est une prévention. Une prévention angoissante. Je ne souhaite pas programmer mon célibat. Je voudrais faire le maximum pour ses beaux yeux. Je suis déçue. Déçue de cette distance que je crée, de ces difficultés inutiles et perturbantes. Malheureusement, je pense être inconciente de mes propres bêtises. Je voudrais pouvoir connaître une auto-satisfaction mais sans illusions, sans espoirs. J'en serais bien trop déçue par la suite si je n'arrive pas à mes fins. Je voudrais que tout ces moments ne soit pas éphémère. J'aimerais aussi ne pas paraître égoiste en disant tout cela comme si je faisais abstraction de sa vision des choses. J'espère ne pas abandonner et surtout ne pas le voir en pleine lassitude à mon égard.
Voila une lettre, non plutôt un brouillon, un brouillon confus, de tristesse, d'appel à l'aide. Un brouillon de détresse.

mardi, avril 07, 2009

Smoke&Die . You are so young .


Certes nous ne fûmes pas des plus sages, nous fîment quelques bêtises mais ce fut si bien d'être ensemble, tous ensemble.

dimanche, avril 05, 2009

"New-York to London, London to Paris ."





"Au bout du téléphone, il y a votre voix, et il y a les mots que je ne dirais pas. Tout ces mots qui font peur quand il ne font pas rire. Quand ils sont dans des chansons, des films ou des livres. Je voudrais vous les dire et je voudrais les vivre. Je ne le ferais pas. Je veux. Je ne peux pas. Je suis seule à crever et je sais où vous êtes. J'arrive attendez moi nous allons nous connaitre. Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien. Je voudrais arriver. Je reste. Je le deteste. Je n'arriverais pas. Je veux. Je ne peux. Je voudrais vous parler. Je devrais rêver. Ou je devrais dormir. J'ai peur que tu sois sourd, j'ai peur que tu sois lâche. J'ai peur d'être indiscrète. Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être .. Mais si tu crois un jour que tu m'aimes, ne crois pas que tes souvenirs me gêne et court et court jusqu'à perdre haleine. Vient me retrouver ..."